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L’acte extrême d’un agent lausannois interroge sur le risque de violence familiale et de suicide lié au métier, et sur le suivi mis en place. Acteurs de terrain et chercheurs relèvent le poids de l’omerta.
Chloé DinLe 19 mars dernier, à Bussigny, un policier a tué sa compagne avant de se donner la mort. Si le drame est extrême autant qu’il est rare, aurait-on pu le voir venir, dans un corps de police comme celui de Lausanne? La question se pose à double titre, pour un homme dont le métier l’exposait à un stress hors normes et qui selon divers témoignages avait déjà exprimé son mal-être.
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